CLIMAT : Les catastrophes climatiques ont tué 195 000 personnes en Europe depuis 1980

CLIMAT : Les catastrophes climatiques ont tué 195 000 personnes en Europe depuis 1980

 

CLIMAT : Les catastrophes climatiques ont tué 195 000 personnes en Europe depuis 1980

 

 

 

Mercredi 14 Juin 2023 (www.michelhugues.com) – La France, comme la planète, vont devoir connaitre désormais et sans cesse des évènements climatiques prochains qui vont de plus en plus porter atteinte à la vie des humains alors que la planète connait également l’extinction depuis peu l’extinction de milliers d’espaces animales et végétales. Ainsi les catastrophes climatiques ont déjà tué 195 000 personnes en Europe depuis 1980 selon un rapport de l’agence européenne de l’environnement.

Les événements météorologiques et climatiques extrêmes comme les inondations ou les canicules ont causé la mort de 195 000 vies en Europe depuis 1980, révèle ce mercredi 14 juin 2023 l’Agence européenne de l’environnement (AEE). En 40 ans, ces événements auraient aussi coûté près de 560 milliards d’euros dans l’Union européenne.

Les événements météorologiques extrêmes comme les canicules et les inondations ont coûté quelque 195 000 vies et près de 560 milliards d’euros en Europe depuis 1980, selon l’Agence européenne de l’environnement (AEE), qui appelle ce mercredi 14 juin 2023 à engager de nouvelles mesures.

« Les phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes ont causé des pertes économiques estimées à 560 milliards d’euros dans l’UE entre 1980 et 2021, dont seulement 170 milliards d’euros (30 %) étaient assurés » et fait près de 195 000 victimes, a relevé l’agence européenne, qui met en ligne un nouveau portail rassemblant les données les plus récentes relatives à l’impact de ces événements.

 

Les événements météorologiques extrêmes comme les canicules et les inondations

ont coûté quelque 195 000 vies et près de 560 milliards d’euros en Europe

 

Les inondations de 2021 en Belgique et en Allemagne ont coûté 50 milliards d’euros .En février 2022, le bilan présenté par l’AEE s’élevait à 510 milliards d’euros et 142 000 morts, pour la période 1980-2020.

En 2021, les inondations en Allemagne et en Belgique ont coûté près de 50 milliards d’euros. En termes de victimes, un changement dans la méthodologie utilisée en France et en Allemagne est à l’origine de la grande variation, a précisé l’agence européenne.

Dans le nouvel inventaire, les canicules comptent pour 81 % du nombre de morts et pour 15 % des dommages financiers. Les événements météorologiques extrêmes comme les canicules et les inondations ont coûté quelque 195 000 vies et près de 560 milliards d’euros en Europe depuis 1980, selon l’Agence européenne de l’environnement (AEE), qui appelle ce mercredi 14 juin 2023 à engager de nouvelles mesures.

« Les phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes ont causé des pertes économiques estimées à 560 milliards d’euros dans l’UE entre 1980 et 2021, dont seulement 170 milliards d’euros (30 %) étaient assurés » et fait près de 195 000 victimes, a relevé l’agence européenne, qui met en ligne un nouveau portail rassemblant les données les plus récentes relatives à l’impact de ces événements.

Les inondations de 2021 en Belgique et en Allemagne ont coûté 50 milliards d’euros En février 2022, le bilan présenté par l’AEE s’élevait à 510 milliards d’euros et 142 000 morts, pour la période 1980-2020. En 2021, les inondations en Allemagne et en Belgique ont coûté près de 50 milliards d’euros.

En termes de victimes, un changement dans la méthodologie utilisée en France et en Allemagne est à l’origine de la grande variation, a précisé l’agence européenne.

Dans le nouvel inventaire, les canicules comptent pour 81 % du nombre de morts et pour 15 % des dommages financiers.

 

L’été 2022 et ses vagues de chaleurs non-comptabilisé

 

Marqué par des vagues de chaleur à répétition, l’été 2022, non encore comptabilisé, a connu un nombre de décès plus élevé que d’habitude dans toute l’Europe.

Il y a eu 53 000 (16 %) décès de plus en juillet 2022 par rapport aux moyennes mensuelles de 2016-2019, tous n’ayant pas été directement attribués à la chaleur, a précisé l’AEE. L’Espagne a enregistré plus de 4 600 décès liés à l’extrême chaleur entre juin et août.

Les modèles climatiques prévoient des vagues de chaleur extrêmes plus longues, plus intenses et plus fréquentes, ce qui doit obliger l’Europe à agir pour protéger sa population vieillissante, vulnérable aux températures élevées.

« La plupart des politiques nationales d’adaptation […] reconnaissent les effets de la chaleur sur les systèmes cardiovasculaire et respiratoire, mais moins de la moitié couvrent les effets directs de la chaleur tels que la déshydratation ou les coups de chaud », note l’institut communautaire.

 

La crainte de sécheresses coûteuses pour nous tous qui passeront de neuf milliards d’euros par an actuellement à 25 milliards annuels

 

le 2 octobre 2020, la tempête Alex détruisait les vallées de la Vésubie, de la Roya, la Tinée et l’Estéron, dans les Alpes-Maritimes. Bilan connu: dix morts et 1500 millions d’euros de dégâts

 

Sur les sols, le changement climatique induit par l’homme a multiplié par cinq ou six la probabilité de sécheresse en 2022, lors de laquelle les incendies de forêt ont touché plus du double de la superficie par rapport aux dernières années, a relevé l’AEE. Les sécheresses pourraient s’avérer extrêmement coûteuses.

Leur coût pourrait passer de neuf milliards d’euros par an actuellement à 25 milliards annuels à la fin du siècle si le réchauffement est de 1,5 °C, mais il pourrait grimper à 31 milliards pour 2 °C et 45 milliards pour 3 °C, selon les scénarios scientifiques.

 

Pour l’économie de l’agriculture, les conséquences pourraient être « dévastatrices ».

 

« Les agriculteurs peuvent limiter les effets négatifs […] en adaptant les variétés de cultures, en changeant les dates de semis et en modifiant les modes d’irrigation », a indiqué l’AEE. « Si l’on ne s’adapte pas davantage, les rendements et les revenus agricoles devraient diminuer à l’avenir », a-t-elle prévenu.

Avec des pertes humaines beaucoup plus faibles (2 % du total), les inondations sont les catastrophes les plus coûteuses, représentant 56 % de la facture.

Désormais les plus observateurs d’entre-vous auront déjà remarqué qu’il n’existe déjà plus de demi-saison, depuis les 5 dernières années nous passons directement de l’hiver à l’été et de l’été à l’hiver ; les printemps et l’automne diminuent et causent un incontestable trouble des cycles de la nature , des forets, des animaux , des insectes et du rôle du soleil.

MES SOURCES : agence européenne de l’environnement  + avec agences

 

MOTS CLEFS : réchauffement climatique, changement climatique, climat, agence européenne de l’environnement, environnement, orages, inondations, AEE, assurances et catastrophes climatiques, météo, catastrophes climatiques,  phénomènes météorologiques, union européenne, victimes climatiques

Michel HUGUES, past-journaliste économique & automobile - éditeur & photographeMichel HUGUES

 

 

 

© Michel HUGUES & MHPhotographies 2023 / © www.michelhugues.com 2023 /

[ me contacter directement par LA PAGE MAIL DE CE SITE ] , c'est ici

 

Une information Provençale, plus Nature, Plus Néo-Sciences du Vivant, Plus Biodiversités - Version BETA-TEST N°2 - Juin / Août 2023

Une information Provençale, plus Nature, Plus Néo-Sciences du Vivant, Plus Biodiversités - Version BETA-TEST N°2 - Juin / Août 2023

Découvrir  : Les Matériels Photo Utilisés pour ce  site

Perfectionnez Votre Savoir Photographique avec un Coach Photo personnel

www.michelhugues.com

Découvrez cette formation particulière

Environnement : Gérald Darmanin promet «3000 nouveaux postes de gendarmes verts »

Environnement : Gérald Darmanin promet «3000 nouveaux postes de gendarmes verts »

 

 

samedi 27 août 2022 –  Gérald Darmanin a annoncé vouloir programmer « 3.000 nouveaux postes de gendarmes verts » afin d’améliorer le travail d’enquête judiciaire » dans les affaires d’atteintes à l’environnement, dans un entretien au Journal du dimanche mis en ligne samedi 20 aout  dernier.

 

 

« L’objectif est que, dans chaque brigade de gendarmerie, il y ait des gendarmes formés aux atteintes à l’écologie. Ce sera une révolution », a déclaré le ministre de l’Intérieur au JDD. La lutte contre les atteintes à l’environnement est menée en France depuis 2004 par l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement (Oclaesp).

 

 

 

 

Des missions de lutte contre les pollutions et le bioterrorisme

 

 

 

Cet office, dirigé par un général de gendarmerie, lutte contre une multitude de trafics (médicaments, déchets, espèces protégées…) mais aussi contre le dopage dans le sport, les pollutions physiques, les scandales alimentaires ou le bioterrorisme.

 

 

Basé en région parisienne, les effectifs de l’Oclaesp sont montés en puissance avec la création de neuf antennes régionales depuis 2020 : Bordeaux, Guyane, Lyon, Marseille, Rennes, La Réunion, Papeete et Valenciennes.

 

 

SOURCES : ministère de l’intérieur et l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement (Oclaesp).

PHOTOS : copyright Gendarmerie nationale

 

Se perfectionner en Photographie 

avec un

coach-photo personnel

 

 

Qu’est-ce que la Biodiversité ? Qui pour la préserver ?

Qu’est-ce que la Biodiversité ? Qui pour la préserver ?

Qu’est-ce que la Biodiversité ? Qui pour la préserver ?

 

La Biodiversité se détermine en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces et des gènes dans l’espace et dans le temps,

ainsi que les interactions au sein de ces niveaux d’organisation et entre eux.

 

 

 1992/2022 : Climat, Humanité & Gaz Carbonique :

que sont devenues ces 40 dernières années ?

 

 

En 1992, l’humanité émettait dans l’atmosphère 21 milliards de tonnes de gaz carbonique .

Nous en étions à près à 30 milliards de tonnes par an en 2012,en 2020 nous en sommes à 34 milliards de tonnes de CO2.

C’est à dire 2,4 milliards de tonnes de moins qu’en 2019.

Sources :  Association Lutte pour le Climat – WWF

 

 

Lorsque la science cherche à évaluer la biodiversité d’un lieu particulier,

les différents éléments des listes d’espèces, écosystèmes ou gènes sont pondérés en fonction de leur rareté.

 

 

LA DEFENSE DE LA BIODIVERSITE PEUT SE DEFINIR DE LA FACON SUIVANTE :

 

 

Définition « S »

    • c’est le tissu vivant de notre planète. Cela recouvre l’ensemble des milieux naturels et des formes de vie (plantes, animaux, champignons, bactéries, etc.) et leurs interactions.
    • Diversité des espèces vivantes (micro-organismes, végétaux, animaux) présentes dans un milieu. Biodiversité du milieu marin. Biodiversité génétique. (Robert dictionnaire)

Les trois niveaux d’organisation de la biodiversité
Le concept de la biodiversité fait référence à l’ensemble des composantes et des variations du monde vivant et les scientifiques y distinguent trois niveaux d’organisation :

    • – la diversité écologique (les écosystèmes) ;
      – la diversité spécifique (les espèces) ;
      – la diversité génétique (les gènes).
    •  

Aujourd’hui, on étudie encore les composantes de la biodiversité (inventaires des écosystèmes, des flores et des faunes), pourtant, on cherche de plus en plus à en comprendre le fonctionnement. On a franchi une étape dans la compréhension du système, en passant de sa description à l’étude de son fonctionnement.

Enfin, il faut savoir que, de plus en plus, les scientifiques essayent de resituer la biodiversité dans une perspective environnementale plus large et on assiste à une intégration de la biodiversité dans les problèmes de société. Il y a d’abord une prise en compte du rôle de l’homme, soit en terme de dépendance directe (pour ses ressources biologiques, pour ses ressources alimentaires), soit en terme de dépendance indirecte par rapport aux services écologiques que rend la biodiversité (interférence avec les climats, bien-être que procure la nature…).

 

 

 

les Pionniers

 

Protéger les espèces végétales et animales et Conserver l’intégrité écologique de leurs habitats naturels ou de remplacement (autres habitats façonnés par les humains en sylviculture et agriculture). Ou bien encore maintenir les écosystèmes actuels dans un bon état de conservation tout en prévenant ou en stoppant leurs atteintes de toutes sortes.

La biodiversité est l’ensemble des espèces vivantes qui peuplent la planète : plantes, animaux, champignons, micro-organismes, mais aussi leur diversité génétique et tous les écosystèmes dans lesquels ils vivent.

Gifford Pinchot

Gifford Pinchot

 

Avant de parler d’écologie et de biodiversité, on parlait « d’écologisme » en lien avec les « patrimoines » locaux, en premier au Royaume-Uni et en Amérique du Nord, avant de changer de vocables à la fin du 20éme siècle (apparition de la différenciation des mots : Environnement, Écologie, et Biodiversité) et le début des premières catastrophes naturelles et les différentes analyses scientifiques cherchant à les prévenir.

 

Robert Michael Pyle

 

Plus tard, c’est L’écologue Robert Michael Pyle (né en 1947) qui lancera en 1978 l’« extinction de l’expérience de nature» définition scientifique et philosophique selon laquelle  : « les individus humains des sociétés occidentales ont progressivement perdu leurs liens à la nature et surtout la notion de son importance, avec effets insidieux et très graves sur la protection et les maintiens de la nature et de la biodiversité ».

 

 Une « COP » , ça sert à quoi ?

 

COP = (Conférence of Parties) = Maintenir le réchauffement climatique en dessous de +1,5°, limiter les rejets de gaz à effet de serre, parvenir à la neutralité carbone

 

Cop de Paris 2015

Cop de Paris 2015

196 nations dont tous les membres de la Communauté européenne ratifièrent la Convention-cadre issue du Sommet de la Terre de Rio 1992.

Cette convention  oblige les pays à se réunir chaque année afin de contrôler et de maintenir les efforts de chaque pays. Ces Meetings annuels sont appelés  « Conférences des Parties » (Conference of Parties), les fameuses « COP » !!! 

La première conférence, dite COP 1, se déroulera à Berlin en 1995. Chaque année se déroule régulièrement une nouvelle COP, jusqu’à la COP 21 de Paris en décembre 2015. En décembre 2015, la COP 21 de Paris sera la revanche de la COP 15 de Copenhague, et surtout le dernier espoir de parvenir à éviter le pire pour le climat et dans l’extrême urgence.

Un accord international sur le climat, juridiquement contraignant, est enfin atteint et acté en 2016, en tant qu’Accords de Paris avec pour but, d’atteindre le maintien du réchauffement climatique en dessous de 1,5°, de limiter les rejets de gaz à effet de serre en vue de parvenir à la neutralité carbone, et notamment d’accorder une aide de 100 milliards de dollars par an aux pays en voie de développement.

Il faudra attendre 2010 pour que soit décrétée la première année internationale de la biodiversité, conclue par la Conférence de Nagoya (Japon) sur la biodiversité, qui a reconnu l’échec de l’objectif international de stopper la régression de la biodiversité avant 2010, en proposant de nouveaux objectifs d’avantage connu sous l’appellation « protocole de Nagoya ».

En 2012, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), un groupe d’experts intergouvernemental sur le modèle du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) ,  a été lancée par le programme des Nations Unies pour l’environnement pour conseiller les gouvernements sur cette thématique.

 

 

MEMOIRE DE L’ECOLOGIE 

 

De la création du « GIEC » en 1988 au sommet de Rio 1992

Sommet de la Terre - Rio de Janeiro 1992 - (c) ONU

Sommet de la Terre – Rio de Janeiro 1992 – (c) ONU

Le tout premier sommet international pour la préservation de la planète eut lieu en 1972 organisé par lONU (organisation des nations unies), avait pour but de : « définir les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial ».

Le tout premier sommet a eu lieu à Stockholm (Suède) en 1972, le deuxième à Nairobi (Kenya) en 1982, le troisième à Rio de Janeiro (Brésil) en 1992, le quatrième à Johannesbourg (Afrique du Sud) en 2002 et le cinquième et dernier sommet en date, appelé « Rio + 20 », a également eu lieu à Rio de Janeiro en 2012.

Tout va réellement commencer avec la signature de la Convention sur la diversité biologique (CDB) au cours du sommet de Rio en 1992 qui engage les pays signataires à protéger et restaurer la diversité du vivant.

 

le groupe d'experts du GIEC ou  de l' IPCC

le groupe d’experts du GIEC ou de l’ IPCC

 

Année après Année, la disparition, toujours croissante, des espèces animales et végétales Sauvages les plus menacées

 

Michel HUGUES - Michel HUGUES PHOTOGRAPHY - www.michelhugues.com

En 2019, le nombre d’espèces menacées d’extinction définitive avait été évalué à un million d’espèces, notamment par les scientifiques du Muséum d’ Histoire naturelle de Paris, il serait nettement supérieur en 2020. Depuis toujours, (apparition de l’être humain il y a 100 000 ans), l’environnement subit « l’agression » des hommes :  notamment depuis la révolution industrielle !

Plusieurs scientifiques actuels annoncent que la planète entre désormais dans une nouvelle époque géologique : « l’Anthropocène ».

En 2021, on parle désormais de la « Sixième extinction » sur notre planète, une extinction de masse qui concerne tout autant les espèces végétales qu’animales qui serait l’extinction de l’Holocène des temps géologiques (Ndlr :  Holocène = Nom de l’ère géologique qui représente les 11 000 dernières années. Correspondant à la dernière partie de l’ère quaternaire période la plus récente dans l’échelle des temps géologiques).

 

 

 

La COP 15 biodiversité qui vient de s'achever à Kunming (chine) a totameùent passé sous silence la protection d'un tiers des mers du globe - copyright  Michel HUGUES - www.michelhugues.com La COP 15 biodiversité  2021 de Kunming (chine) a totalement effacé l’objectif de la protection d’un tiers des mers du globe (certains disent comprendre pourquoi en mer de Chine ..) – copyright Michel HUGUES – www.michelhugues.com[/caption]

 

 

Découvrir  les  Galeries Photo et Portfolios sur la BIODIVERSITE ? C’est par ici :

 

 

      INSECTES, REPTILES & BATRACIENS – 84 photos

 

 

     OISEAUX & RAPACES – 194 Photos

 

 

      FLORE SAUVAGE – 65 Photos

 

 

       COMMENT PHOTOGRAPHIER LA BIODIVERSITE ?

 

 

       SOLEILS DU SOIR & DU MATIN – 80 Photos

 

 

      SAUVER LES ZONES HUMIDES – 132 Photos

 

 

      LA FORET PROVENCALE – 142 Photos

 

 

       REFLETS NATURELS48 Photos

 

ENVIRONNEMENT & FINANCES DES CONTRIBUABLES : Budget Castex 2022 : 10 milliards de dépenses nuisibles à l’environnement selon 3 ONG relayées par nos confrères d’actu-environnement.

ENVIRONNEMENT & FINANCES DES CONTRIBUABLES : Budget Castex 2022 : 10 milliards de dépenses nuisibles à l’environnement selon 3 ONG relayées par nos confrères d’actu-environnement.

picto cigale

Mardi 12 Octobre 2021 – Le dernier budget du gouvernement Castex cacherait 10 Milliards de prochaines dépenses nuisibles à l’environnement selon nos confrères d’« actu environnement », une nouvelle contradiction équivoque pour un dernier budget du quinquennat d’une gouvernance qui se prétendait pour une « planet great again » à ses débuts et qui aura particulièrement désenchanté les contribuables français par la suite.

Quelques semaines après avoir dévoilé dans son ensemble, le projet de budget des finances de 2022, la dernière année du premier quinquennat Macron, hier lundi 11 Octobre les ministres en charge de l’environnement ont dévoilé ce que l’on appelle désormais « le budget vert » extrait des autres comptes budgétaires. 3 Ong parmi les plus importantes ont aussitôt évoqué « 10 Milliards de prochaines dépenses nuisibles à l’environnement ».

 

Un dernier budget « verdi » mais avec des oublis importants, selon les 3 ONG :

« Action Climat, ATD Quart Monde, Secours Populaire Caritas France »

 

ENVIRONNEMENT & FINANCES DES CONTRIBUABLES : Budget Castex 2022 : 10 milliards de dépenses nuisibles à l’environnement selon 3 ONG

ENVIRONNEMENT & FINANCES DES CONTRIBUABLES : Budget Castex 2022 : 10 milliards de dépenses nuisibles à l’environnement selon 3 ONG

 

Les ministres chargés de la Transition écologique, de l’Économie et des Comptes publics ont dévoilé, hier lundi 11 octobre, la deuxième édition de ce budget spécifique qui évalue la pression et l’impact environnemental du budget de l’État qui reprend toutefois la même méthode mise au point en 2019 : une vision pluriannuelle et un approfondissement de l’analyse de certaines dépenses.

Selon ces mêmes ministres « verts » (RAPPEL :  nous sommes en période d’élection présidentielle) le « budget vert » Castex-Macron présenterait deux améliorations par rapport à l’édition précédente.

Avec le budget vert, le Réseau Action Climat (RAC), ATD-Quart Monde et le Secours Catholique Caritas France saluent toutefois « un exercice indispensable pour rendre les dépenses néfastes pour le climat et l’environnement transparentes », mais les trois ONG soulignent aussi un certain nombre d’oublis.

Il s’agit, en premier lieu, de l’absence d’intégration des enjeux sociaux. « La hausse actuelle des prix de l’énergie rappelle l’importance de penser conjointement écologie et justice sociale. En plus d’une évaluation écologique, il faut davantage détailler l’analyse des effets positifs et négatifs du budget (…) sur les inégalités sociales et la pauvreté », estiment les associations. Celles-ci préconisent de ne pas se limiter au PLF mais également de mesurer à cette aune l’impact du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS).

La deuxième carence pointée par le RAC et ses consœurs est l’absence d’engagement politique visant à « fixer une trajectoire de suppression des dépenses défavorables et à augmenter les financement favorables en ligne avec les objectifs écologiques ». Et de prendre l’exemple de la suppression de l’avantage fiscal du gazole non routier repoussée à 2023 après les échéances électorales.

« Bien que le budget vert 2022 constate une légère hausse des dépenses favorables à l’environnement, les investissements publics ne sont toujours pas en cohérence avec les objectifs climatiques », concluent les 3 ONG en s’appuyant sur les travaux de l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE).

 

Mais 42,72 milliards de dépenses favorables à l’environnement

 

A gauche, Gérald DARMANIN, ministre de l'Action et des Comptes publics depuis 2017. A droite; Barbara POMPILI, ministre de la Transition écologique depuis 2020 après avoir été secrétaire d'état à la biodiversité" gouvernement Valls, députée LREM après avoir été dirigeante d'EELV (Europe écologie les verts( - copyright Actu Environnement

A gauche, Gérald DARMANIN, ministre de l’Action et des Comptes publics depuis 2017. A droite, Barbara POMPILI, ministre de la Transition écologique depuis 2020 après avoir été secrétaire d’état à la biodiversité du  gouvernement Valls, députée LREM après avoir été dirigeante d’EELV (Europe écologie les verts – copyright Actu Environnement

 

Que révèle ce fameux « budget vert » ? En premier les dépenses (crédits budgétaires + dépenses fiscales) favorables à l’environnement sur au moins un axe, sans être défavorables par ailleurs, représenteront 32,5 milliards d’euros (Md€) en 2022. Elles sont en augmentation par rapport à 2020 (29,8 Md€) et 2021 (31,4 Md€). S’y ajoute une contribution supplémentaire de 5,7 Md€ au titre du plan de relance.

Outre le budget vert, le rapport fait également un état des lieux de l’ensemble des financements publics et privés, en faveur de la transition énergétique selon une méthodologie distincte. Il établit également un panorama de la fiscalité environnementale « en s’appuyant sur la définition retenue à l’échelle internationale par Eurostat et l’OCDE, et en l’élargissant ».

Concernant les dépenses défavorables à l’environnement, la mission les évalue à 10,8 Md€, en hausse par rapport à la loi de finances pour 2021 (10,6 Md€). Il s’agit essentiellement de dépenses fiscales, en particulier les exonérations ou réductions de taux sur les taxes intérieures de consommation des produits énergétiques (transport routier de marchandises, tarifs réduits de gaz naturel et de méthane pour les énergo-intensifs), ainsi que les dispositifs fiscaux en faveur du logement neuf qui accélèrent l’artificialisation des sols. Mais des crédits budgétaires sont également mis à l’index : c’est le cas des dépenses de soutien à la production d’énergie dans les zones non interconnectées (ZNI) et les dépenses d’investissement en faveur de l’aérien.

picto cigale

Sources : Ministère de l’économie  + Actu Environnement

 

Michel HUGUES

c'est pas bien de vouloir VOLER UNE PHOTO de quelqu'un d'autre

error: contenu protégé