LE TOUT DERNIER FESTIVAL MONDIAL DE POP MUSIC : « RIVIERA 76 » – 23/25 juillet 1976 (souvenirs de reportage de Michel HUGUES)

LE TOUT DERNIER FESTIVAL MONDIAL DE POP MUSIC : « RIVIERA 76 » – 23/25 juillet 1976 (souvenirs de reportage de Michel HUGUES)

 

LE TOUT DERNIER FESTIVAL MONDIAL DE POP MUSIC : « RIVIERA 76 » – 23/25 juillet 1976 – Le Castellet – circuit Ricard –

 

 

(Publication du samedi 11 décembre 2021) – LE TOUT DERNIER FESTIVAL MONDIAL DE POP MUSIC : « RIVIERA 76 » – 23/25 juillet 1976 – Le Castellet – circuit Ricard – Après avoir organisé le célèbre concert - festival « hippie » de WOODSTOCK (15 au 18 aout 1969) à White Lake dans l’état de New-York, Michael Lang le génial créateur de Woodstock « remet ça » 7 ans plus tard en terre française et varoise sur le circuit Paul Ricard. A Woodstock, M. Lang attendait 25 000 personnes, il y en eut plus d’un million qui envahirent les lieux sans payer leurs entrées. Au Camp du Castellet, Michael Lang espérait au moins 100 000 spectateurs. Il n’y en eut en réalité qu’un peu plus de 25 000 qui acquittèrent leur billet, la clôture d’enceinte du circuit Ricard ayant été « coupée » par environ autant de clandestins venus de toute la France. C’était l’occasion pour moi de faire mes débuts officiels de reporter pour l’Agence France Presse (AFP) malgré mon très jeune âge alors. Après une première journée en duo avec « le grand reporter afp » Gérard Fouet « je fus pour la première fois lâché tout seul pour l’AFP » durant les 2 journées du festival pour la couverture photos et textes de l’AFP.C’était l’occasion pour moi de faire mes débuts officiels de reporter pour l’Agence France Presse (AFP) malgré mon très jeune âge d’alors. Après une première journée en duo avec « le grand reporter de l'agence » Gérard Fouet « je fus pour la première fois lâché tout seul pour l’AFP » durant les 3 journées du festival (1 jour de réglages tests balance en privé et 2 jours officiels publics) pour la couverture photos et textes de l’agence française. Ce fut l’occasion pour moi de « travailler en concurrence de rapidité éditoriale » avec des grands noms déjà bien installés dans la presse parisienne comme Guy Le Querrec pour l’agence Magnum et l'illustre photographe américain Allan Tannenbaum.Rappelons que ce festival proposa les concerts entre autres de : All Jarreau, Betty Davis, Eddi Palmieri, Joe Coker, Jimmy Cliff, Stuff, le groupe MAGMA, Gil Scott Heron, Ray Barretto, John Mclaughlin, Gary Burton, Ron Carter, Taj Mahal, Les Crusaders, Tony Scott, Tony Williams, Stanley Clarke et tellement d’autres musiciens de cette époque. J’y reviendrais encore plusieurs fois dans cette photo galerie. Document fortement réduit en qualité et en dimensions. Photo sous Copyright Michel HUGUES/AFP - www.michelhugues.com – Photos réalisées avec 2 Boitiers NIKKORMAT et objectif NIKKOR 28 mm – pellicule kodak TRI-X-PAN -

Michel HUGUES – Michel HUGUES PHOTOGRAPHY – www.michelhugues.com

 

 

 

Après avoir organisé le célèbre concert – festival « hippie » de WOODSTOCK (15 au 18 aout 1969) à White Lake dans l’état de New-York, Michael Lang le génial créateur de Woodstock « remet ça » 7 ans plus tard en terre française et varoise sur le circuit Paul Ricard.

A Woodstock, M. Lang attendait 25 000 personnes, il y en eut plus d’un million qui envahirent les lieux sans payer leurs entrées.

Au Camp du Castellet, Michael Lang espérait au moins 100 000 spectateurs. Il n’y en eut en réalité qu’un peu plus de 25 000 qui acquittèrent leur billet, la clôture d’enceinte du circuit Ricard ayant été « coupée » par environ autant de clandestins venus de toute la France.

Ce fut en réalité mes débuts officiels de reporter pour l’Agence France Presse (AFP) malgré mon très jeune âge d’alors j’avais 23 ans.

… REELLEMENT WOODSTOCK EN PROVENCE …

 

Après une première journée en duo avec « le grand reporter de l’agence » Gérard Fouet « je fus pour la première fois lâché tout seul pour l’AFP » durant les 3 journées du festival (1 jour de réglages tests balance en privé et 2 jours officiels publics) pour la couverture photos et textes de l’agence française.

Je découvrais de la même façon comment  « travailler en concurrence de rapidité éditoriale » avec des grands noms déjà bien installés dans la presse parisienne comme Guy Le Querrec pour l’agence Magnum et l’illustre photographe américain Allan Tannenbaum.

Rappelons que ce festival proposa les concerts entre autres de : All Jarreau, Betty Davis, Eddi Palmieri, Joe Coker, Jimmy Cliff, Stuff, le groupe MAGMA, Gil Scott Heron, Ray Barretto, John Mclaughlin, Gary Burton, Ron Carter, Taj Mahal, Les Crusaders, Tony Scott, Tony Williams, Stanley Clarke et tellement d’autres musiciens de cette époque. J’y reviendrais encore plusieurs fois dans cette photo galerie.

Document fortement réduit en qualité et en dimensions.

Photo sous Copyright Michel HUGUES/AFP – www.michelhugues.com –

 

Photos réalisées avec 2 Boitiers NIKKORMAT et objectif NIKKOR 28 mm – pellicule kodak TRI-X-PAN –

 

LE TOUT DERNIER FESTIVAL MONDIAL DE POP MUSIC : « RIVIERA 76 » – 23/25 juillet 1976 – Le Castellet – circuit Ricard – Après avoir organisé le célèbre concert -festival « hippie » de WOODSTOCK (15 au 18 aout 1969) à White Lake dans l’état de New-York, Michael Lang le génial créateur de Woodstock « remet ça » 7 ans plus tard en terre française et varoise sur le circuit Paul Ricard. A Woodstock, M. Lang attendait 25 000 personnes, il y en eut plus d’un million qui envahirent les lieux sans payer leurs entrées. Au Camp du Castellet, Michael Lang espérait au moins 100 000 spectateurs. Il n’y en eut en réalité qu’un peu plus de 25 000 qui acquittèrent leur billet, la clôture d’enceinte du circuit Ricard ayant été « coupée » par environ autant de clandestins venus de toute la France. C’était l’occasion pour moi de faire mes débuts officiels de reporter pour l’Agence France Presse (AFP) malgré mon très jeune âge alors. Après une première journée en duo avec « le grand reporter de l'agence » Gérard Fouet « je fus pour la première fois lâché tout seul pour l’AFP » durant les 3 journées du festival pour la couverture photos et textes de l’agence française. Ce fut l’occasion pour moi de « travailler en concurrence de rapidité éditoriale» avec des grands noms déjà bien installés dans la presse parisienne comme Guy Le Querrec pour l’agence Magnum et l'illustre photographe américain Allan Tannenbaum. Rappelons que ce festival proposa les concerts entre autres de : All Jarreau, Betty Davis, Eddi Palmieri, Joe Coker, Jimmy Cliff, Stuff, le groupe MAGMA, Gil Scott Heron, Ray Barretto, John Mclaughlin, Gary Burton, Ron Carter, Taj Mahal, Les Crusaders, Tony Scott, Tony Williams, Stanley Clarke et tellement d’autres musiciens de cette époque. J’y reviendrais plusieurs fois encore, dans cette photo galerie. Document fortement réduit en qualité et en dimensions. Photo sous Copyright Michel HUGUES/AFP - (cliquez sur la photo pour la voir en plus grandes dimensions)

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Le 29 avril 2012 : Yohji Yamamoto – « Y’s » – Un créateur de mode, si différent des autres

Le 29 avril 2012 : Yohji Yamamoto – « Y’s » – Un créateur de mode, si différent des autres

Le 29 avril 2012 : Yohji Yamamoto – « Y’s » – Un créateur de mode, si différent des autres

 

 

Souvenirs de 40 années de Photo Reportages 

 

 

Le 29 avril 2012 : Yohji Yamamoto – « Y’s » – Un créateur de mode, si différent des autres

 

 

Yohji Yamamoto - « Y’s » - Un créateur de mode, si différent  Yohji Yamamoto a fondé son propre label Mode dès 1971 au Japon, à Tokyo. D’emblée, il sera classé parmi les « avant-gardistes », toujours à contrecourant de la tendance mode généraliste de la presse internationale spécialisée, presse toujours consensuelle, toujours uniforme, toujours moutonnante, un créateur à l’encontre de « tout ce qu’on voit à l’identique, partout » !  Yohji Yamamoto affichant et assumant parfaitement sa différence, son authenticité si affirmée, face à tous. Ce créateur à l’opposé de tous les autres, toujours très épris de sa compagne de toujours : « Rei Kawakubo », créatrice et dirigeante de la marque « Comme des Garçons » auront une fille Limi Feu, qui poursuivra le nom Yamamoto dans la mode internationale dès 2008 restant très proche des concepts de son père pour l'usage du noir.   En affirmant haut et fort toutes ses différences avec le monde de la mode, Yohji Yamamoto avait donc tout pour « me plaire », pour attirer surtout mon regard photographique. Ce n’est qu’en 1977, que la presse internationale de la mode découvre le premier défilé de la ligne « Y’s » de Yohji Yamamoto à Tokyo. Son style sera qualifié de « révolutionnaire ». La plupart de ses tenues sont noires ou dans des couleurs sombres. Les vêtements sont inhabituellement amples pour l’époque. Manifestement il transforme la mode féminine aux moyens des principes et atours de la mode masculine avec lesquels il effacera de ses robes, toute partie dévoilant trop la peau nue féminine. Il créera rapidement sa ligne Y’s pour hommes dès 1979. Le premier défilé parisien de la ligne Yohji Yamamoto Femme aura lieu en 1981. En 1982 les créations de Yohji Yamamoto triomphent à la « fashion week » de New York. Sa première boutique parisienne est inaugurée en 1983, rue Etienne Marcel. La ligne « Yohji Yamamoto Homme » est créée en 1984. Avant une passion pour Gabrielle Chanel, il lui rendra hommage à travers son défilé parisien printemps-été 1998. J’ai eu le plaisir de le côtoyer le créateur japonais durant toute une journée en 2012, lors du Jury du Festival MODE PHOTO de HYERES LES PALMIERS, fort peu loquace, toujours distant mais restant toutefois fort sympathique. 29 avril 2012 – à 17H48 - CANON 5D MK II + 28-70 – 3744 X 5616 – iso 400 – 60 mm – f/4,0 – 1/60 sec.

Yohji Yamamoto – « Y’s » – Un créateur de mode, si différent des autrescopyright Michel HUGUES – Michel HUGUES PHOTOGRAPHIES – www.michelhugues.com

 

 Yohji Yamamoto a fondé son propre label Mode dès 1971 au Japon, à Tokyo. D’emblée, il sera classé parmi les « avant-gardistes », toujours à contrecourant de la tendance mode généraliste de la presse internationale spécialisée, presse toujours consensuelle, toujours uniforme, toujours moutonnante, un créateur à l’encontre de « tout ce qu’on voit à l’identique, partout !

Yohji Yamamoto affichant et assumant parfaitement sa différence, son authenticité si affirmée, face à tous. Ce créateur à l’opposé de tous les autres, toujours très épris de sa compagne de toujours : Rei Kawakubo, créatrice et dirigeante de la marque « Comme des Garçons » auront une fille Limi Feu, qui poursuivra le nom Yamamoto dans la mode internationale dès 2008 restant très proche des concepts de son père pour l’usage du noir et des formes.

En affirmant haut et fort toutes ses différences avec le monde de la mode, Yohji Yamamoto avait donc tout pour « me plaire », pour attirer surtout mon regard photographique.

Ce n’est qu’en 1977, que la presse internationale de la mode découvre le premier défilé de la ligne « Y’s » de Yohji Yamamoto à Tokyo. Son style sera qualifié de « révolutionnaire ». La plupart de ses tenues sont noires ou dans des couleurs sombres. Les vêtements sont inhabituellement amples pour l’époque. Manifestement il transforme la mode féminine aux moyens des principes et atours de la mode masculine avec lesquels il effacera de ses robes, toute partie dévoilant trop la peau nue féminine.

 

Yohji Yamamoto - « Y’s » - Un créateur de mode, si différent

Yohji Yamamoto – « Y’s » – Un créateur de mode, si différent COPYRIGHT Michel HUGUES – Michel HUGUES PHOTOGRAPHIES – www.michelhugues.com

 

 

Il créera rapidement sa ligne Y’s pour hommes dès 1979. Le premier défilé parisien de la ligne Yohji Yamamoto « Femme » aura lieu en 1981. En 1982 les créations de Yohji Yamamoto triomphent à la « fashion week » de New York. Sa première boutique parisienne est inaugurée en 1983, rue Etienne Marcel. La ligne « Yohji Yamamoto Homme » est créée en 1984. Ayant une passion pour Gabrielle Chanel, il lui rendra hommage à travers son défilé parisien printemps-été 1998.

J’ai eu le plaisir de le côtoyer le créateur japonais durant toute une journée en 2012, lors du Jury du Festival MODE PHOTO de HYERES LES PALMIERS, fort peu loquace, toujours distant mais restant toutefois fort sympathique.

DATAS = LE 29 avril 2012 – à 17H48 – CANON 5D MK II + 28-70 – 3744 X 5616 – iso 400 – 60 mm – f/4,0 – 1/60 sec. – Document fortement réduit en qualité et en dimensions.

© Photo sous Copyright Michel HUGUES – www.michelhugues.com

 

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c'est pas bien de vouloir VOLER UNE PHOTO de quelqu'un d'autre

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